• Pendant les 3 jours (23, 24 et 25 Juillet), j'étais au Tilleul pour faire quelques images du CCA.
    Exepté Dimanche matin, sinon les conditions météo étaient plutot favorables.
    Comme les dernières fois, l'organisation mise en place par Sabine et David Guerin était irréprochable.

    Les meneurs étaient venus du quart Nord-Ouest de la France.
    Il y avait du "Beau monde" avec quelques champions de France en titre.

    En parallèle de la compétition "officielle", il y avait aussi "La tournée des As"!
    C'était une bande de banbins coacher par leurs papas.
    Si hors de la compétition, c'est une bande de petites crapulkes adorables, dès qu'ils sont dans leur voiture avec le poney devant, ils se transforment en compétiteurs "purs et durs"!

    Voici une compilation d'images de la prestation des "petits As":
     

    Quand à la compétition "officielle" elle sedéroulait normalement sur 3 épreuves, le dressage, le marathon, la maniabilité.
    Voici une compilation d'images du dressage:

    Epreuve Marathon:

    Epreuve de maniabilité:
     

     


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  • Et oui, "on" envisage sérieusement se présenter sur une ligne de départ le 8 Aout pour un nouveau "concours d'entraînement", aussi "on" a décidé (en attendant d'avoir un coach attitré) de faire avec les moyens du bord.

    "ON", c'est à dire pour l'instant Menno et nous.
    Pour cet entraînement, nous nous sommes rendus sur le parking de la plage d'Antifer ou nous avons dessiné et borné une  aire de dressage presque aux normes.
    Après une belle détente, nous avons travaillé et répété 3 fois la reprise "Club-Elite".
    Et bien, ce n'est pas gagné.
    Pour la mémorisation des enchaînements, il y a du mieux.
    Maintenant, à force de répeter, ce n'est plus trop mon problème majeur.

    Nariolo a montré 3 faiblesses sur lequelles, nous devrons travailler:
    - Les lignes droites qui ne sont plus droites mais confuses,
    - Les contre incurvations qu'aujourd'hui, je n'ai pas réussi à empécher.
    - Le défaut de régularité dans le tracé des voltes et demies-voltes.

    Sinon, dans les points positifs,
    - le respect des allures au mètre prèt,
    - les arrêts qui sont des immobilités instantannées,
    - le pas qui est enfin un marcher bien détendu!
    - l'accéptation de virer dans les coins.

    En clair, c'est beaucoup mieux, mais il y a encore beaucoup de boulot!

    De plus, nous utilisions une nouvelle et provisoire voiture (geste commercial d'Equi'Marché).
    C'est une voiture de dépannage en attendant la livraison de notre nouvelle voiture de randonnée que j'ai commandée en Avril (grandes roues avec pneumatiques, suspensions à air, double siège avant, etc, en résumé le must du confort).
    Et sepuis début Juin, je n'ai plus de voiture de balade, mais juste une marathon pure et dure (surtout dure), car j'ai revendu ma "ZolyWouature".
    Aussi le travail ce matin, avec une voiture pas très belle, soit mais confortable, m'a permis de me concentré sur le travail du cheval.

    Pour cet "entraînement", nous étions coaché par "Dédé".
    Je dis "Nous" car Notre ami Hervé et son frison "Menno" nous accompagnaient.
    Il faut aussi évoquer les effets du stage au "Haras du Pin".
    Avec une tenue "académique" (base-aide-carré), je suis infiniment moins empétré avec les guides.

    Ah, encore, une anecdote: alors que nous enchaînions les figures, nous avions un spectateur (80 ans au moins) qui n'en loupait pas une miette et qui manifestement "bavait" à nous voir évoluer.
    Alors, nous l'avons invité à monter dans la voiture.
    Le "papy" n'en croyait pas ses yeux et nous avons déroulé une reprise complète avec notre passager.
    Pour qu'il descende, nous avons pris l'escabeau de Menno.
    Il était tellement heureux que j'ai bien cru qu'il allait m'embrasser.
    Je croie bien que nous lui avons offert quelques minutes de bonheur et de quiétude.
    Et puis, à nous, (MatiteFam et moi) cela nous a fait plaisir!


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  • Vraiment, cette première expérience de concours, éffectuée dans ce cadre de "concours d'entraînement", avec toute la convivialité qui s'y rattache, aura été TRES positive et constructive.

    Je m'interrogeais depuis quelques temps sur la façon d'évoluer dana ma pratique de l'attelage et je pense avoir trouvé quelques réponses.

    "L'attelage de loisirs", pour moi, aura été une première étape pour découvrir la discipline et les bases de la technique. 
    Je poursuivrai cette pratique, car elle est associée au partage, la convivialité, la découverte, le tourisme, etc...
    Maintenant l'approche, même modeste, de la compétition, incite à remettre en cause ses acquis, sortir de sa routine et ouvre vers une autre approche du menage et une amélioration de la technique.
    Mais, cette ré-orientation nécéssite un gros travail de préparation et d'entraînement.
    Après cette épreuve, je peux affirmer que cela ne s'improvise pas.

    Le travail préparatoire concerne le cheval, le meneur et aussi l'équipage,

    Pour le cheval:
    - acquisition d'une endurance à l'effort grâce à un entraînement régulier,
    - accepter naturellement les changements d'allures et de rythmes,
    - acquerir une régulatité dans les allures,
    - perdre cette habitude de la "contre-incurvation",

    Pour le meneur:
    - Apprendre les figures de la reprise de dressage "Club-Elite",
    - Travailler la mémorisation pour parvenir à fixer les enchaînements des portes lors de la reconnaissance d'une maniabilité,
    - Etudier ce que doit être une détente avant dressage ou maniabilité afin que le cheval arrive calme, confiant et aux ordres dans l'épreuve,
    - Apprendre la gestion de l'effort dans la phase A,

    Pour l'équipage:
    - Apprendre la régularité de la vitesse au pas et au trot,
    - Apprendre à déclencher l'explosivité lors de l'entrée dans 'un obstacle Marathon et le retour au calme après,
    - Revoir l'habillage du groom (tenue en relation avec le type de voiture, gants, chaussures adaptées,)
    - Apprendre la synchronisation des fonctions dans les obstacles marathon (travail du groom en relation avec le menage)

    Conclusion:
    Cette journée d'entraînement, en plus du plaisir que nous y avons trouvé, aura permis de faire le point sur le fonctionnement de l'équipage et fournit des pistes de progression.
    La prochaine "journée d'entraînement est le 8 Aout 2010 à Sommery.
    Je pense que nous y participerons.

    En prévision d'une participation plus régulière à des CCA l'année prochaîne, je suis à la recherche d'un(e) coach pour progresser et me préparer dans les meilleures conditions.


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  • Le "Marathon" était constitué de 3 épreuves ou phases.

    - Une phase "A" de 6km, qui devait être parcourue au trot (14km/h)
    - Une phase "B" de 600m, qui devait être parcourue au pas et pour une durée de 6minutes.
    - Une phase "E" comprenant 4 obstacles et un parcours de liaison.

    La phase "A"
    N'ayant jamais participé à une phase "A", j'ai lancé Nariolo au petit trot sur la partie bitumineuse du parcours.
    Mathilde surevillait le chronomètre et je lui indiquais les panneaux de passage aux kilomètres parcourus.
    Heureusement pour nous, Dominique, juste avant notre départ, nous avait remis un tableau d'avancement à 14 km/h.
     Mathilde pouvait ainsi facilement, me fournir des indications sur notre progression (Merci Dominique).
    Le parcours était fléché et je n'avais qu'à suivre les indications sauf que...
    A 5.5 km, nous retrouvions le début de la boucle et je me trouvais alors devant un double affichage!
    A un carrefour, il y avait 2 options.
    Evidemment, j'ai pris la mauvaise et avant que je ne me rende compte de mon erreur, nous étions en dépassement de temps.

    Ce que je retiens de cette phase "A":
    - Nous n'avions pas pu assister au "briefing" d'avant marathon. Il est très vraisemblable que cette particularité du parcours avait été abordée et comme nous n'en étions pas informés, nous sommes "tombés dans le panneau". A l'avenirs, on s'efforcera d'être present à ce briefing dezs organisateurs.
    - Pendant l'effort, Nariolo a montré quelques premisses de fatigue ou de défaut d'entraînement de fond. J'avais tord de penser que nos sorties bi-hebdomadaires suffiraient à faire un entraînement de fond. Que néni, Nariolo n'avait pas de reserve.
    - Pour l'avenir, il faudra que nous ayons des entraînements plus importants, afin qu'il sorte d'une phase A sans fatique accumulée. Ce mpanque de fond s'est fait sentir ensuite dans les obstacles.

    La phase "B",
    Un petit parcours de 600m à accomplir en 6 minutes au pas, cela paraissait facile.
    En fait, en cours de route, Nariolo a marqué un premier arrêt par crainte d'un oiseau qui s'envolait, puis un second arrêt pour faire son crottin. N'ayant pas de repère de temps ni de vitesse, finalement, de nouveau, nous avons pris un dépassement de temps de 2 minutes.

    Ce que je retiens de cette phase "B":
    -  Bien étalonner et maîtriser la vitesse de Nariolo au pas,
    - Nariolo ne doit pas marquer d'arrêt en phase B sous quelque motif que ce soit.

    La phase "E",
    Elle était coinstituée d'une boucle de liaison a parcourir avant le premier obstacle, entre chaque obstacle et après le dernier obstacle.
    Pour tout ces parcours de liaisons et le franchissement des obstacles, de nouveau, il y avait un temps imparti qu'il fallait respecter. Nariolo commençant à accuser un manque "de fond", évidemment, nous avons fait un nouveau dépassement de fond.
    Pour les obstacles, les ayant déja parcouru à pied la veille et le matin, je n'avais aucun problème de mémorisation.

    Dans les obstacles, tout se précipitait, je ressentais un sentiment de vitesse. 
    J'ai retrouvé une sensation que j'avais eu lors de ma première leçon d'auto-école.
    Tout allait très vite, je pensais être trop rapide, et cependant, je me faisais doublé par tout les autres automobilistes.
    En fait,dans les obstacles, nous nous trainions comme des limaces.
    Je ne parvenais pas à relancer Nariolo, il me semblait fatigué.
     Si mon intention de faire le maximum lors de ces épreuives était bien présent, je ne tenais pas à trop demander à Nariolo.
    Nous aurons d'autres occasions de franchir des obstacles.
    Ce concours était un concours d'entrâinement et rien n'était vital ou justifiait que je "crève" mon cheval.
    Par manque de vitesse, il s'est arrété en haut du pont qui surplombe le gué.
    Je n'ai pas su l'engager sur la bonne trajectoire avec suffisamment de vitesse.


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  • Jusqu'à ce jour, je n'avais pratiqué une maniabilité qu'en 3 occasions.
    A chaque fois, c'étaient des manaibilités .... "pour rire".
    Mais, là, c'était sérieux!

    16 portes disséminées deci-dela dans une grande carrière.
    La veille du concours, déja, j'étais allé ene reconnaissance et tenté d'apprendre les enchaînements.
    Le matin du concours, avec Mathilde, de nouveau, j'ai parcouru cette maniabilité en traçant ce que devaient être les trajectoires et les allures.

    Au moment du départ, j'avais en tête les recommandations de Fabrice Martin:
    - Avant un franchissement, se positionner bien perpendiculairement à la porte à franchir
    - Ce qui est important, c'est de viser la quille extérieure de la porte et d'en passer le plus près possible,
    - Au moment d'entrer dans une porte, on fixe la porte suivante,

    Nous avons attaqué cette maniabilité directement en sortant de l'épreuve de dressage.
    Comme je venais d'avoir 2 trous de mémoire sur l'enchaînement des figures, je n'étaius pas très confiant en ma mémoire des enchaînements de portes.
    Bref, on s'élance au petit trot.
    Les portes 1, 2, 3, 4, 5 et 6 sont avalées sans problème (1 boule tombée seulement).
    Et puis, j'ai perdu l'emplacement de la porte 7!
    En prenant garde de ne pas franchir de porte à l'envers, je suis parti transquillement sur le terrain à la recherche de cette foutue porte 7! Et c'était parti, j'étais de nouveau déconcentré, alorts après avoir treouvé la 7, les boules sont tombées régulièrement. De plus, étant déconcentré, je ne portais plus assez d'attention à notre vitesse et Nariolo se baladait au pas.

    Bilan:
    - Dépassement de temps,
    - 5 boules tombées,
    - mais pas d'élimination! L'objectif 1 était atteint "ne pas se faire éléiminer!".

    Ce que je retiens:
    - Nécessité de faire travailler ma mémoire pour fixer les enchaînements de portes,
    - Pratiquer, pratiquer et encore pratiquer pour acquérir un mécanisme de positionnement au franchissement de  porte,
    - Apprendre à mieux gérer la continuité des allures de Nariolo (nous redescendions trop souvent au pas, et je ne sais pas encore déclencher le galop de Nariolo)
    - Quelques conseils venant de Christophe et Dominique:
          - Plutot prendre son temps pour être précis et éviter les boules,
          - Surtout ne pas faire d'erreur de parcours sous peine d'élimination.

    Voila, de nouveau, il y a beaucoup de travail pour progresser, mais Nariolo possède le potentiel.
    Et puis, ma "foutue" mémoire à trou est un vrai et grand handicap


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